La ville technologique

1) L'édito.

2) Stockholm chauffe, la planète refroidie.

3) Une maison en 24heures chrono.

4) La ville modèle de Tianjin.

5) La tour Hypergreen.

6) L'eco-quartier "la Caserne de Bonne".

7) Le stationnement inteligent .

8) Les panneaux solaire de demain.

9) La Maison flottante

10) Le tramway

L'edito la ville en mutation

Le sous thème : la ville technologique

Depuis des milliers d'années les populations sédentarisés, qui se sont regroupés pour survivre dans des milieux plus ou moins hostiles (contre les bêtes sauvages ou d'autres tribus. Ils ont du s'organiser, pour réussir à vivre ensemble en construisant les réserves de nourritures au centre de ces « Villes » autour les logements et autre infrastructures.

Ces mêmes populations ont dû créer de nouvelles méthodes, pour subvenir à leurs besoins tout d'abord dans les domaines de l'agriculture, de la pêche, de la chasse,de la guerre mais aussi plus tard de la santé ou encore des loisir.

L'ensemble de ces évolutions ont fait de nos villes ce quelles sont actuellement.

De nos jours les villes s'organisent la plupart du temps avec le centre historique au cœur de la ville puis les banlieues périphériques se développent petit à petit autour avec des espaces verts et de grands boulevard qui nous amène un moment fort de la ville moderne qui est le modèle Haussmannien.

Le préfet Haussmann et à l'origine de la grande modification de Paris au XIXe siècle le but de  cette transformation et de créer de grands boulevards pour aéré la ville de pouvoir rendre plus hygiénique par l'assainissement des eaux, de nouveaux égouts l'accès à l'eau potable et au gaz,  cette ville et enfin d'y développer les lieux culturels (théâtres... ou encore les transports (automobile, train...).

Ces Améliorations historiques ce répercuteront sur de nombreuses villes et nous pouvons encore maintenant observé ces avancées. Les grands boulevards ou circule toutes les voitures sont remplacée par des tramways ou de longue avenues enherbées. Le cadre de vie et plus sain.

Les nouvelles technologies ont elles réellement amélioré les conditions de vie des populations urbaines ?

Que peut ont faire pour améliorer techniquement les villes en pleines expansion?

Stockholm l'homme chauffe, la planète refroidie 

En 2008 la gare centrale de Stockolm se lance dans le projet de récupérer l'énergie humaine des voyageurs qui arpentent la gare pour transformer cette énergie en chaleur.

C'est grâce à quelques 200 000 personnes qui, quotidiennement arpente le terminus central de Stockholm que le complexe Kungsbrohuset a coter de la gare bénéficie de cette source d'énergie. La société Jernhusen de gestion immobilière et en charge des infrastructures ferroviaires a fait construire un complexe de 26 000m² sur 13 étages pouvant accueillir des boutiques un hôtel ainsi que des bureaux, avec des technologies de pointes afin de baisser la consommation en énergie les propositions techniques affluent : géothermie, ventilation mécanique, vitrage intelligent (laissant passer la lumière, mais amoindri la chaleur), absence de ponts thermiques, échangeurs de chaleur… mais cela ne leur suffit pas. L'architecte en chef du projet, Karl Sundholm explique qu'ils ont trouvé cette idée par hasard lors d'une discussion. L'idée est de récupérer l'excédent de chaleur de la gare afin d'éviter de la climatiser et également de récupérer cet excédent afin de chauffer le bâtiment à proximité.

 Les ingénieurs décident de retenir une technique qui a déjà fait ses preuves depuis plus d'un siècle, l’exploitation d’échangeurs

 de chaleur air/eau,. L’air chaud est capté par un système de ventilation et envoyé vers l’échangeur de chaleur. L’eau réchauffée (22°C) est acheminée par des pompes vers le nouveau bâtiment et injectée dans son circuit de chauffage. L’eau refroidie (16°C) est ensuite refoulée vers la gare où elle est de nouveau réchauffé et ainsi de suite.  » La tâche est simplifié car la gare possède déjà ses pompes à chaleurs et que les conduites d’eau sont installées et prêtes à l’emploi. Il suffit de les raccorder au système d’échangeur du nouveau bâtiment, Ainsi, environ 25 % du chauffage proviendra de l’énergie récupérée dans la gare centrale.

 Les concepteurs de ce complexe vont encore plus loin dans l'approche écologique et social en essayant d'offrir des contrat à des entreprises qui seront bénéfiques pour la vie du complexe : société de nettoyage, d'entretien des plantes vertes et aquarium, de gardiennage, fleuriste, traiteur...

Pour les concepteurs le fait d'attirer certains acteurs commun rend le bâtiment plus écologique évitant ainsi les deplacements inutiles, d'après leurs calculs les émissions de CO2 devraient être réduit de 75 %. Le complexe passif de Kungsbrohuset s'impose comme un colosse technologique, puisseque les bureaux d'études du monde entier afflux pour s'informer de ces technologies. Ce bâtiment dispose également de 3 labels écologiques differents, le logo "éco-smart est apposé sur toute les campagnes de communication.

 Même si certaines personnes s'intéresse de près à cette technologie la France n'est pas encore prête à s'équiper de cette technologie. La SNCF revoit seulement les consomations énergétiques à la baisse où dans la gare de Belfort-Montbéliard un puis canadien à été installer. Pour les experts, le fait de bénéficier de ce type de matériel requiert un intérêt au vu du climat par rapport au coût du gaz, en Suède les températures sont très basses et le prix du gaz élevé ce qui justifie cette utilisation.

La suède durable, publié le 5/04/09 par Jean-Paul Pouron

http://www.lasuededurable.com/202/chantiers/gare-de-stockholm-gare-au-chaud-et-froid-ecolo.html

20 minutes.fr publié le 10/01/11 par le webmaster du site (inconnu) étudié le 18/05/14

http://www.20minutes.fr/planete/650394-planete-la-gare-stockholm-recupere-chaleur-humaine#commentaires

 Une maison en 24h chrono

24 heures, c'est le temps qu'une imprimante 3D a mis pour construire les pièces de dix maisons à assembler à Shangaï. C'est une entreprise chinoise (WinSun Decoration Engineering Co) qui à développé ce type de matériel dans le domaine de l'architecture ce n'est pas le seul projet, car d'autres imprimantes 3D existe aux États Unis dans ce cas là, il ne résulte pas de l'impression de pièces mais d'un bâtiment directement formé. En Europe à dans la ville d'Amsterdam (le kammer maker qui est à ce jour la plus grosse imprimante du monde). L'entreprise chinoise a conçu une imprimante de 32 mètres de long, 10 mètres de large et plus de 6 mètres de haut. 77 brevets ont été déposés lors de son élaboration. Beaucoup de pièces ont été importés, malgré tout et elle a été assemblée dans une usine à Suzhou.

La construction se fait par superposition de couche de matériau qui est du béton recyclé de déchets industriels (ciment, fibre de verre) provenant d'usines désaffectées ou de chantiers.

Sur le plan économique l'entreprise réalise du opération elle a même l'ambition de créer une centaine d'usines dans le but de recyclé des matériaux utilisable par l'imprimante.

Le coût de ces maisons est assez faible et la main d'oeuvre quasiment nul, l'acquisition de l'une de ces maisons coûtent 3500€, malgré les informations complémentaires qu'apporte certaines sources sur la fiabilité et la solidité de ces édifices nous n'avons pas vraiment de recule sur la réelle solidité. L'imprimante reproduit exactement le modèle fourni par l'ordinateur en utilisant la superposition des couches de matière ainsi qu'un maillage au centre pour consolider le mur, en plus de cela lors de l'assemblage une mousse qui durcit et ajouter afin de rentre la structure aussi solide que du béton. L'université Americain de la Californie du sud qui a conçu le robot « CC » Contour Crafting, déclare que les murs seraient bien plus résistants avec une solidité près de trois fois supérieures à un mur classique.

Certains cadres de cette nouvelle technologie affirme que ce type de bâtiment est plus écologique par le fait d'un recyclage de

 matériaux comme le béton qui était peu recyclable à la base, en terme d'isolation les résultats sont encore inconnus.

Ces constructions pourrais malgré tout permettre le développement des pays émergent et pouvant être aussi utilisé dans le cadre de reconstruction après une catastrophe naturelle afin de reloger au plus vite et à moindre coûts les populations.

Malgré tout l'imprimante 3D garde ces limites, après avoir automatisé toutes les industries, celles de la mode, l'industrie alimentaire ou automobile, la construction devrait t'elle l'être, cela reviendrait alors à écarter beaucoup de personnels de maçonnerie le travail des centaines d'hommes serait remplacé par ces machines et quelques architectes. Toutefois, l'inventeur de Contour Crafting certifie le contraire, avec même des créations d'emplois dans les domaines de l'installation électrique, de plomberie ou encore dans la pose des portes et fenêtres. Dans le contexte actuel il va donc falloir gérer tous ces facteurs afin de préserver une économie durable et trouver des solutions pour permettre le logement des populations de manières dessantes. 

Sources

Le journal du net, article réalisé par Justine Gay sur Contour Crafting, publié le 10 janvier 2014, etudié le 8 mai

http://www.journaldunet.com/economie/immobilier/contour-crafting.shtml

Construction21 le portail européen des professionnels de la construction durable publié le 9 janvier 2014 par Sylvain Bosquet etudié le 8 mai.

http://www.construction21.eu/france/articles/fr/insolite-limprimante-3d-qui-peut-construire-une-maison-en-24-heures.html

Industrie et technologie par JULIEN BERGOUNHOUX PUBLIÉ LE 21/03/2014 etudié le 8 mai

http://www.industrie-techno.com/la-plus-grosse-imprimante-3d-du-monde-pour-construire-une-maison.28877

 Les echos.fr article publié par Jean Batiste Bonaventure publié le 15/avril 2014 étudier le 8 mai

http://www.industrie-techno.com/la-plus-grosse-imprimante-3d-du-monde-pour-construire-une-maison.28877

Les numeriques, article publié par marine Goy le 16avril 2014, étudié le 8 mai

http://www.lesnumeriques.com/imprimante-3d/impression-3d-24-heures-pour-fabriquer-10-maisons-a-4300-e-piece-n34018.html

La ville modèle de Tianjin

Les Exemples d'éco-quartier sont de plus en plus présents afin d'améliorer les conditions de vie des habitants et leurs offrir un meilleur cadre de vie ainsi que des technologies dans les domaines des infrastructures, du transport, de l'environnement, de l'éducation et bien d'autres. Le but est d'étendre c'est éco-quartiers afin que les villes soient dotée des mêmes technologies. C'est pour cela qu'en Chine un projet pharaonique se met en place afin de construire une ville durable en respectant mieux l'environnement ,mais surtout cette ville devrait offrir un meilleur cadre de vie pour les habitants qui leurs permettraient de pouvoir se développer dans de meilleures conditions.

Le premier grand projet fut la ville de Dongtan qui aurait dû voir le jour en 2010 sur l'île de Chongming. Pendant que certains pensent qu'une intensification de la ville serait la solution en construisant des portions de ville à la verticale, les architectes de la ville de Dongtan préfère des infrastructures plus basses avec un maximum de huit étages. Cette ville à la pointe de la technologie urbaine se veut conviviale.

Cependant, malgré les efforts du groupe Britannique en charge des travaux qui avaient déjà réalisé le chantier des stades pour les JO de Pékin, le coût était trop élevé et à couler. Un deuxième projet, située à 150 kilomètres à l'est de Pékin, dans le district de Binhai, la nouvelle ville de Tianjin est en train de réussir là où le projet Dongtan a échoué.

Cette ville est le fruit d'une étude menée conjointement avec la ville de Singapour en profi

tant de l'établissement ZDET qui est un centre de recherche.

Le projet est colossal et les chiffres sont impressionnants: la ville devrait accueillir 350 000 habitants d'ici à 

2020, divisé en sept secteurs, répartis sur le 34km² du projet, pour un investissement total de 22 milliards de dollars US. 

La ville écologique de Tianjin aura plusieurs innovations qui lui permettront d'être durable, notamment l'emplacement même d

u projet. Construite sur un ancien terrain de déchets industriels, les concepteurs ont choisi de laisser les terres arables à proximité à la culture. Le réseau de transport est organisé autour d'un axe central qui traverse les grands centres de la ville. Cet axe central est équipé d'un tramway qui permet à la majorité des habitants de se déplacer de manière écologique. Des pistes cyclables et des voies de marche sont ajoutées afin de limiter les déplacements en voiture à une valeur maximale de 10 %. D'autres innovations sont à mettre lumière telles ques:

-Des zones de marécages afin d'attirer la faune locale et de développer un écosystème,

-Des éoliennes et des panneaux solaires, centrales géothermique seront mis en place afin de fournir, à terme, 15-20% de la consommation interne d'électricité.

-Un système de recyclage des déchets organiques afin de produire de l'électricité, prévision de réduction des déchets, réutilisation.

-Des systèmes de management intelligent des consommations d'eau et d'électricité au sein des bâtiments,

-Désalinisation de l'eau de mer, dû à la faible pluviométrie du site.

-Bâtiments intelligents avec volets automatiques et contrôle de la température.

Le projet est aussi important du point de vue de la mixité sociale sachant que 20 % des logements seront réservés aux familles à bas revenu.

Beaucoup de projet n'ont pas vu le jour faute de financement ou projet trop compliqué, même si les travaux ont débuté les problèmes ne font que commencer...

L'humanoshère, Posté par Ema Sandron publié le 7 décembre 2011

 http://www.humanosphere.info/2011/12/tianjin-eco-city-un-modele-de-ville-verte/

 France tv info publié le 3/07/2012 par Jean Serjanian

http://geopolis.francetvinfo.fr/tianjin-eco-cite-de-chine-6387

Le projet Hypergreen

Les grattes ciel ce mettent au vert !

Le projet nommé Hypergreen est un concept de gratte ciel innovant, tel les maisons d'aujourd'hui est de demain qui sont plus respectueuses de l'environnement, L'architecte Jacques Ferrier en collaboration avec EDF décide en 2004 de développer un gratte-ciel aux couleurs de la nouveauté et du durable. Le fait de construire un bâtiment colossal comme celui-ci démontre la possibilité de faire un bâtiment aussi bien performant qu'esthétique.

 Le projet se porte sur une tour de 246 mètres de haut, avec 94 000 m2 exploitables.

La climatisation naturelle par puits canadiens, ainsi que l'installation d'éoliennes au sommet, pompes à chaleur géothermique, 3 000 m2 panneaux photovoltaïques. La construction « Hypergreen » Lafarge (entreprise produisant des matériaux de construction), associé à l'architecte Jacques Ferrier, a présenté ce projet suscitant l'intérêt en matière de construction "Durable". Hypergreen est une tour presque auto-suffisante en terme de consommation énergétique, puisque 70% de ses besoins devraient être couverts de façon autonome par les différents procédés énoncer.

L'objectif majeur étant l'auto-suffisance énergétique, sachant qu'environ 90% des émissions de CO2 imputable à un bâtiment pour son fonctionnement les besoins énergétiques serai donc diminuer de 60% ce qui est un atout majeur. En outre de la récupération d'eau de pluie alimentant les jardins extérieurs la structure serait composée en béton ultra performant réaliser en « résille en Ductal » (béton fibré développé et breveté par Bouygues et Lafarge) qui contrôlerait la diffusion de la ventilation dans la structure réduisant ainsi le chauffage ou au rafraîchissement, mais aussi permettrai la rigidité de la structure. L'utilisation de la tour sera multiple est abriterons entre autre des commerces, bureaux, logements, espaces verts, loisirs et parkings, l'espace intérieur étant intégralement modulable, les plateaux le constituant étant simplement superposés.

Les moyens techniques actuel ne permettent pas aujourd'hui de permettre des structures telles que celle-ci bien que la technologie avance certains problèmes subsistent comme le choix des matériaux.

.

Électricité verte.com le portail de l'électricité verte, publié le 27/07/2011 par le webmaster du site

http://www.electricite-verte.com/base-de-connaissances/energie-et-developpement-durable_fiche_exemples-de-mise-en-oeuvre-d-outils-et-de-dispositifs-innovants_hypergreen-batiment-et-neutralite-environnementale.html

Youtube interview avec jaques Ferrier publié par le groupe Lafarge le 16 septembre 2008

http://www.youtube.com/watch?v=K5VnsHQFgME

L'eco quartier de la Caserne de Bonne à Grenoble

L'enjeu majeur des villes d'aujourd'hui et de demain est de donner un aspect naturel à la ville le principe est de créer l'éco-quartier. Autour de nous les idées se bousculent entre écoquartier habitation autonome et autres. Comment transformer un espace urbain, en un quartier plus conviviale et chaleureux.

Le but de l'eco-quartier est d'offrir un cadre de vie exceptionnel tout en diminuant les coûts énergétique aussi bien pour respecter l'environnement mais également dans un cadre économique. L'écoquartier de la Caserne de Bonne est construite d'une façon différente, c'est un peu « une ville dans la ville ». Elle se compose d'environs 900 logement dont une part de logement socio afin d'intervenir sur le plan de la mixité des revenus dans une période ou ces disparités restent importantes. 40% des logements sont en location.

 En plus de la mixité socio-économique ce quartier se développe autour de la cohabitation des âges. Entre les deux résidences étudiantes qui sont véritablement attrayante par rapport aux facultés, ainsi qu'au faible éloignement du centre ville, mais également des transports urbains. Les personnes âgées ainsi que les personnes handicapés bénéficient d'un cadre agréable tout en ayant des logement et des aides adapter à leurs besoins. Les bureaux et le centre commercial complète le tout et alliant le travail et et les loisirs

 Du point de vue performances ?

 Ce quartier aspire à la sérénité et au bien être, mais avant tout il doit être réellement moins énergivore.

 Comment cet écoquartier se comporte t'il dans son environnement actuel ?

Avec certaines technologies développées comme la ventilation double flux(VMC) permettant de renouveler l'air ambiant afin de garder une température légèrement plus faible à l'intérieur, d'environs 5°C l'été et conservé une température autour de 19-20 °C l'hiver, la production énergétique via des panneaux photovoltaïques qui converge à une économie qui avoisine les 20%. Tout cela reste sur le plan de la théorie si les acteurs de cet écoquartier ne « joue pas le jeu ». Car oui au delà du fait que ce quartier à été conçu pour être en dessous des normes de son époque, mais aux mêmes normes que celle de 2013, des problèmes restent évident et serviront d'expérience aux futurs écoquartier.

Les problèmes sont liés à la construction car les promoteurs oublient que certaines entreprises ont trop peu d'expériences pour réaliser de tels projets,

sans exclure le fait de la réduction des charges en employant de la main d'œuvre trop peu voir pas qualifier. Les bureaux d'études dans la majorité ont du mal à changer leurs approche de l'architecture comme nous le montre l' ADES.

Ensuite la prévision d'économie de consommation et inexacte et irréaliste comme L'ADES nous informe sur leur communiquer, qui à pour cause l'évolution des conditions climatiques d'une année sur l'autre. Les habitants jouent également un rôle important car la température est bridée autour des 20°C et certains habitants habituer à une température confort qui se situe autour des 23-24°C influe sur cette offre énergétique car l'utilisation de chauffage d'appoint (électrique) constitue une forte dépense énergétique environ 1500Watt de consommation pour un radiateur d'appoint.

 L'écoquartier de la Caserne de Bonne reste le précurseur en France de ce nouveau mode de construction, bientôt rejoint par d'autres qui espérons le, apprennent de leurs erreurs. Malgré certains problèmes notoire ont peu montrer un avis positif. Ce projet à même était soutenu par le programme Européen « Concerto »

Sources

video youtube visionnée (06/04/2014)Partenariat ADEME /La maison France 5. 

réalisé par Jessica Lapize production : HL production, diffuser sur Fr5 en septembre 2011

https://www.youtube.com/watch?v=mgdirlX6HFo

Site ADES publier le 16 juin 2011 par le webmaster du site (nom inconnu) (06/04/14)

http://www.ades-grenoble.org/wordpress/2011/06/16/evaluation-des-performances-energetiques-a-la-caserne-de-bonne/

Site de la ville de Grenoble publier par le webmaster du site Bénédicte Sédat, pas de date de publication etudié le (06/04/14)

http://www.grenoble.fr/769-ecoquartier-de-bonne.htm

 Le Stationnement intelligent

Après avoir dégorgé les grandes villes par plusieurs moyens de transports et de limitations de circulations dans les centres villes, les voitures ont encore une place importante dans notre quotidien. Pour cela le nombre de voitures est encore conséquents, le stationnement est un problème récurent, une ville comme Paris possède environ 785 000 places de parking. Certaines villes s’équipent de moyens techniques afin de gérer le stationnement et indique grâce à des applications le nombre de place disponible ainsi que leur localisation.

De l'autre côté de l'Atlantique à l'ouest des États Unis la ville de Los Angeles avec plus de 3 800 000 habitants, où se garer est un calvaire on estime à 1 528 876 km inutile, pour se garer 178 000 litre d'essence gaspillée et 730 tonne d'émission de CO2. Cette ville à le projet de s'équiper d'une technologie novatrice dans la gestion du stationnement avec la PME Française Sterela. Le principe est de placer un boîtier de petite taille (92x102 mm) avec une forte résistance mécanique une durée de vie de la batterie d'environ 5 ans. Ce boîtier envoie une onde basse fréquence à une station de réception qui traduit par un signal qui indique sur tout matériel relié à internet et savoir en temps réel si une place est libre ou non. En France Nice est également une ville pionnière dans cette nouvelle gestion des stationnements.

A Nice, la ville à décidée d'opter pour un système similaire l’opérateur Orange à signée un contrat avec l'entreprise américaine « Street Line  » le but étant de réduire le nombre d'heures et ainsi économiser de l'énergie afin de se garer avec plus de sérénité. On estime à environ 70 000 000 d'heures au total par an pour que les automobilistes trouvent une place de parking, c'est environ 25% du trafic urbain qui est consacré à la recherche d'un stationnement, se système révolutionnerai donc le stationnement en ville.

L'objectif premier de ce grand déploiement est de réduire la part de CO2 émis par les véhicules en recherche de stationnement, alléger le trafic et ainsi le fluidifier.

Toutefois la métropole Nice Côte-d'Azur veut aussi lutter contre le stationnement « anarchique » de certains automobilistes. La mairie est fière de disposer d'un « système qui permet de lutter contre la fraude et la pollution , d'améliorer le flux de circulation, tout cela dans un objectif d'augmenter l'attractivité » de la ville de Nice.

Actuellement, la ville dispose de 70 horodateurs et 1 000 capteurs installés. A terme, en 2015, près de 14 000 places de stationnement devraient être équipées de capteurs dans toute la ville, pour un investissement de 13 à 15 millions d'euros.

Avec les nouveaux systèmes nous n'avons que peu de rendu sur l'efficacité du produit comme la vidéo a pu nous le montrer, le système dévoile rapidement ses failles tout d'abord l'application ne prévois pas d'informer l'automobiliste sur les travaux en cours de réalisation qui supprime momentanément certaines places. Puis certains utilisateurs mal garés ou des livreurs en double file qui empêchent l'accès à la place indiqué. Toutes ces raisons observées témoignent des problèmes récurant liés à cette nouvelle technologie.

D'autres exemple de gestion de stationnement comme la jeune société Française « SmartGrains » qui se spécialise dans le parking intelligent privé elle a déjà équipée les parkings des grands centres commerciaux Velizy 2 et Parly 2 (Yvelines), en région Parisienne.

Pour en savoir plus

 Entreprise Francaise dans la gestion du stationnement (étudié le 16/04/2014)

http://www.smartgrains.com/

Sterela entreprise française qui développe son marché a Los Angeles (réponse négative de l'entreprise pour plus d'information) (15/04/2014)

 http://www.sterela.fr/fr/solutions/esquirol-92.php

Video Youtube visionnée le 15/04/2014 mise en ligne le 30 septembre 2013 par la chaine de 01net (présenter par Jérôme Colombain et François Sorel)

 https://www.youtube.com/watch?v=l_a9KXpJVZ8

Mobilicité publié le 24 janvier 2012 par Robert Viennet étudié le 16/04/2014

 http://www.mobilicites.com/011-1197-Nice-se-lance-dans-le-stationnement-intelligent.html

 Découvert en 1839 par Antoine Becquerel, l'effet photovoltaïque permet la transformation de l'énergie lumineuse  en électricité. Ce principe repose sur la technologie des semi-conducteurs. Il consiste à utiliser les photons pour libérer les électrons et créer une différence de potentiel entre les bornes de la cellule qui génère un courant électrique continu.

les années 1960 marqué par la conquête de l'espace réintègre cette technologie oubliée dans l’approvisionnement énergétique des satellites, qu'ils jugent de meilleure solution. Depuis les années 70 jusqu'à nos jours, les panneaux photovoltaïques ont équipé certaines de nos calculettes, radars routiers, pour s'attaquer à nos maisons et aux centrales solaire et autre

Les technologies actuelles sont basées sur la captation de l’énergie des photons, ce sont des particules énergétiques qui composent la lumière.

Les technologies développées permettent de convertir leur énergie en chaleur ou en électricité. L’énergie solaire est une énergie renouvelable dont l’utilisation ne produit pas de CO₂. Celle-ci apparaît donc comme une solution possible aux problèmes posés par l'amoindrissement de certaines sources d’énergie, leur coût et impact sur l’environnement. Aujourd'hui les panneaux équipent nos maisons et et leurs donne un aspect écologique. Mais ont peut également allez plus loin et les panneaux de 2ème puis de 3ème générations qui se verrons plus performant et plus ergonomique.

De nos jours la plupart des panneaux solaires, environ 80% du marché , sont conçus à partir de silicium ou d'autres composés utilisé sous sa forme cristalline. C’est c'est la 1ère génération de panneaux solaires. La 2ème génération dispose d'une plus grande finesse d’où l’apparition de « thin films », (couches minces, flexibles permettant d’être posées même lorsque la surface est courbe). Il est donc possible de les installer sur des bus ou autre, d’où l’apparition de chargeurs solaires plus efficaces par exemple.

Dans cette 2ème génération on observe, plusieurs sortes de panneaux, selon les matériaux qui les constituent (du Tellurure de Cadmium par exemple). En parallèle la mise au point de panneaux de 3ème génération créer par une PME française de Limoges « Disasolar » qui aspire à une place de leader dans le panneau solaire de 3ème génération. Ils possèdent des arguments de poids.

Ces panneaux possèdent une bonne intégrabilité puisqu'ils sont conçus à partir de cellules organique à partir de carbone, ne contiennent que peu de matériaux toxiques sont imprimés sur des matériaux plastiques légers flexibles (comme ceux de 2ème génération) et résistants pour une meilleure ergonomie et une facilité d'installation de plus ils peuvent être construit sur mesure et peuvent s'adapter grâce à leur esthétique et la richesse de leurs coloris. La possibilité de création d'énergie ce fait autant par ensoleillement direct que diffus. De plus le rendement augmente lorsque la température augmente. Avec les matériaux utilisé ces panneaux ont un faible coût de production et atteindront un prix compétitif rapidement. Disasolar se lance sur le marché avec des soutiens importants tout d'abord la SNCF un de leurs gros clients qui leur a donner l'idée de ce projet puis le lancement des programmes de recherche grâce à une université de Limoges mais ainsi que le laboratoire du CEA et de l'INES (institut national de l'énergie solaire) à Chambéry ainsi que des laboratoires européens au Pays Bas et en Belgique. , nous aurons ainsi la réponse sur de multiple question. Ces panneaux solaire seron t'il vraiment efficace, et à prix reduit? Pourront t'il être utilisé dans les pays émérgent afin d'amelioré les condition de vie des populations, en offrant une source d'énergie suffisantes à leurs besoins?

Disasolar se lance sur le marché avec des soutiens importants tout d'abord la SNCF un de leurs gros clients qui leur a donner l'idée de ce projet puis le lancement des programmes de recherche grâce à une université de Limoges mais ainsi que le laboratoire du CEA et de l'INES (institut national de l'énergie solaire) à Chambéry ainsi que des laboratoires européens au Pays Bas et en Belgique.

Sources et compléments:

Video youtube réalisé par la région Limousin et le FEDER et présenté par le directeur de Disasolar Stéphane Poughon

http://www.youtube.com/watch?v=J1gsvkZls9s

 (DisaSolar visionnage 18 mars 2014) édité par le web-master du site

http://www.disasolar.fr/page/22-integration-aux-batiments/

Maison flottante : jusqu'où la ville se développera

En Europe, des maisons d'un nouveau genre font « surface » après avoir construit en hauteur, comme les buildings qui fleurissent dans les centres économiques Américanisé. C'est aux habitations flottante de trouver leur place. Le pays bas innove sur cette technologie en plein boum, sachant qu'1/3 du pays est sous le niveau de la mer et cela ne va pas s'arranger avec le réchauffement climatique les digues construite ne suffirons pas. C'est pour cela que ces maisons sont un atout durable pour l'expansion de la vie urbaine, mais cela ne doit pas se faire n'importe comment.

Plusieurs projets sont en voie de réalisation ou déjà réalisés les architectes rivalisent d'ingéniosité pour trouver les solutions aux problèmes. Tout d'abord, il existe plusieurs types de maisons, elles peuvent être ancrés profondément avec deux pylônes qui empêcherait la structure de bouger latéralement, mais donnerai de l'amplitude lors des houles marine. D'autres projets à l'étude serait les maisons bateaux, affranchi de toutes attaches et complétement autonomes rattachés en quartiers avec des boulevards des parcs et autres infrastructures. Ou encore des maisons construites sur la terre ferme et qui s'élèverait au moment des crues. Ces maisons sont déjà populaires au nord-est d'Amsterdam avec 170 maisons qui verront le jour sur des îles artificielles.

La maison flottante est également un endroit de vie confortable avec une certaine similitude par rapport aux maisons classique. Ces maisons sont construites avec avec des matériaux écologiques. Une cavité en béton ou en acier servant de fondation enveloppée dans un tissu anticorrosion sert de flotteur, il peut être reliée avec une ancre ou un point fixe.

La structure souvent en acier galvanisé, les murs en polystyrène expansé au milieu de deux bacs en acier également réalisé en bois.

L'autonomie énergétique se fait grâce à des panneaux solaires le traitement des eaux et soit par lignes souterraines où peuvent être auto-traitée dans des bacs (traitement des boues par floculation puis filtration, des micro-organismes se charge décontaminé les eaux ainsi que certains agents tels que le « CODCR (chemical oxygen demand cod) les eaux sont ensuite évacuées ou peuvent être réutilisées.

Nous ne sommes qu'au début de ces constructions, quels seront réellement les projets qui aboutiront ? Nous n'avons que peu de recule face à certaines conséquences. Les pays bas ne sont pas les seuls à ce creuser la tête afin de trouver des solutions le Japon et les états unis sont également concernés. Certains pays d'Asie comme la Thaïlande vivent déjà depuis de nombreuses générations sur des maisons flottantes, même si leurs conditions de vie sont plus rudimentaires. Ces nouvelles maisons permettrons t-elles réellement d'endiguer les problèmes dût au réchauffement climatique.